Parcours de lectures.
Bonjour à tous,
D’ici quelques jours je mettrai en ligne un dossier PARCOURS DE LECTURES :
PARCOURS DE LECTURES
Ce coffret à l’italienne contient 12 enveloppes et un fascicule de présentation
Le fascicule rassemble différentes données (introduction, composition du FRAC (Liste exhaustive des acquisitions 83-85 etc.)
Sur les douze enveloppes, onze contiennent chacune de sept à dix fiches. La dernière est vide, elle peut être utilisée au gré du lecteur-utilisateur de manière ordinaire ou composée de fiches, à l’instar des autres.
95 artistes, 95 œuvres, 95 fiches ; une par artiste dont une œuvre au moins a été acquise pour le fonds régional d’art contemporain midi Pyrénées de 1983 à juin 1985.
Le recto de chacune des fiches est une prise de vue effectuée lors d’un reportage dans un certain nombre de musées de la région.
Sur cette image tramée la vignette couleur d’une œuvre acquise par le FRAC est mise en scène, puis collée.
Le nom de l’artiste ainsi que les références de l’œuvre reproduite (titre, dimensions,…), le symbole du musée où la photographie à été prise, sont situés en bas de cette page.
Le verso est constitué pleine page d’un portrait original de l’artiste concerné, réalisé spécialement pour cet ouvrage par François Lagarde.
Chaque fiche est donc un réservoir d’images à lire : trophées de voyage, fiction d’artiste, visages à l’œuvre, trajectoires et catastrophes du sublime.
IMPOSSIBLE TAXINOMIE
Chaque enveloppe est indexée au recto d’une liste de noms d’artistes dont les fiches correspondantes se trouvent à l’intérieur.
Ces listes ne sont pas ordonnées, ni alphabétiquement, ni géographiquement, ni chronologiquement, encore moins par physiognomie des visages ou par scènes de genres.
Chaque réunion est à envisager comme moment d’une composition, assemblage éphémère, à prendre comme un sketch du possible.
A en déployer les pans ce FRAC c’est l’habit de gala d’Arlequin : pas de règles au déballage de ce paquet de cartes , l’enjeu sera de battre le sens , d’avancer en zig-zag et de tracer l’inventaire des réseaux. Au moins mille milliards de peintures.
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